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Le Festival de la Nouvelle vie est une fête célébrée dans une grande partie de Tamriel le 1er primétoile à l'occasion du nouvel an. L'Empereur y prononce habituellement son Allocution de la Nouvelle vie malgré les nombreuses difficultés financières dans l'Empire. Selon la tradition, les tournées sont gratuites durant les fêtes dans toutes les tavernes de Tamriel. Dans certaines régions, notamment à Haltevoie, le Festival de la Nouvelle vie est fêté le 25 soirétoile.[1]
Traditions[]
Gardeciel[]
Les Elfes des bois en Auridia ont fait découvrir à leurs hôtes altmers la joie des boules de boue. Chaque année, en plus des citoyens lambda de Gardeciel, les Bosmers désignent une cible spécifique à recouvrir de boue.
Durant la guerre des Trois bannières, ils s'en prirent aux ambassadeurs de chaque Alliance.[2]
Bas-Yorgrim[]
Les Nordiques de Bas-Yorgrim fêtent la Nouvelle vie par le Plongeon de l'ours des neiges, en se rendant dans des endroits reculés, retirant leurs vêtements et en sautant dans l'eau glacée.
C'est pour eux une manière de montrer que le froid n'a rien d'effrayant. À la fin de l'hiver les attend un grand feu de joie, de l'hydromel chaud et de la bonne compagnie. Les Nordiques en profitent alors pour comparer leurs tatouages.[2]
Bergame[]
Il y a un certain temps, une grande maladie s'était abattue sur Bergame. Ceux qui avaient survécu étaient gravement malades, même les lames assermentées de Bergame, ses protecteurs. Emeesh Langue-Nocive, un seigneur de guerre des sables, apprit la faiblesse de Bergame. Une nuit, sa bande de brutes s'approcha de la ville pour la piller et massacrer ses habitants. Une lame assermentée, Zoreh la tenace, montait la garde.
Quoique souffrante, elle seule veillait. Consciente qu'elle n'aurait aucun espoir contre tant d'ennemis, elle savait tout de même comment sauver Bergame. Si elle allumait les feux d'alerte assez vite, Emeesh supposerait que la maladie était guérie et que les défenseurs de Bergame étaient prêts.
Zoreh sprinta jusqu'à chaque fanal. Seule, elle courut, malgré sa maladie, et les alluma tous. Elle rallia bientôt toutes les lames assermentées de Bergame. Une fois sur les remparts, leur présence fit fuir la bande d'Emeesh. Même malades, leurs défenseurs parvinrent à faucher chacun d'entre eux.
Malheureusement, la maladie emporta Zoreh le soir-même, mais Emeesh était déjà vaincu. Zoreh est morte en sachant que Bergame était en sécurité. Chaque année, depuis, les Rougegardes de Bergame rendent hommage à son sacrifice en organisant la Course des fanaux le jour du Festival de la Nouvelle vie.[2]
Betnikh[]
Les Orques de Betnikh se réjouissent en faisant la Bringue à Pierrecroc. C'est une fête permanente, relativement pacifique. Un grand festin est organisé dans la forteresse de Pierrecroc. À l'issue du repas, les invités ont pour coutume de roter au visage de leurs hôtes en signe de satisfaction.[2]
Château d'Alcaire[]
Les Brétons du château d'Alcaire possèdent une étrange tradition appelée le Défi de la vie de château. Il y a bien longtemps, après une terrible guerre, l'intendant a ouvert un concours. Le participant qui divertissait le mieux les survivants du château remportait un grand renom. Depuis, chaque année, on jongle, crache du feu et avale des couteaux devant un public très enthousiaste.[2]
Éboulis[]
Autrefois, très brièvement, la ville de Cœurébène a interdit la danse. Les Elfes Noirs ont alors inventé Lave-alse, qu'ils qualifiaient de nécessité si jamais leurs bottes s'enflammaient. Ils la pratiquent dans des tavernes, en portant une petite broche éblouissante, affichée entre gens bien intentionnés, devenue un symbole de participation.[2]
Havre[]
Les Hauts-Elfes de Havre ont le Séjour de l'orphelin de guerre. Il se rendent au temple des Huit au cœur du bois de Graht et donnent ce qu'ils peuvent, l'occasion de donner une Nouvelle vie aux orphelins de guerre.[2]
Hissmir[]
Les Argoniens de Hissmir ont le Festin de la Manne poissonneuse, l'une des fêtes de Fangeombre les plus anciennes. Ceux qui peuvent apportent du poisson, et les autres le mangent.[2]
Rawl'kha[]
Les Khajiits de Rawl'kha honorent leur dieu farceur Rajhin par l'épreuve de la Ruse à cinq griffes, qui teste leur adresse lors d'un concours de crochetage de coffres.[2]