Pour le personnage dans Online voir Frandar Hunding (Online) Frandar do Hunding Hel Ansei No Shira, communément appelé Frandar Hunding était un héros rougegarde. Il a vécu durant le début de l'ère Première dans le Haut Désert de Yokuda. [1]C'était une période de conflit et de guerre civile, il a mené son peuple hors de annihilation vers de nouvelle terres en Martelfell. Son fils Divad est aussi célèbre.[2]
Biographie[]
Enfance[]
Il est né en 1E 720 dans le Haut désert de Yokuda. Il appartient aux Chantelames. Cette faction était initialement loyale à l'Empire Yokudan, avec des membres de la haute-société. Il s’entraînait dans le Hall des Vertus Martiales. Frandar était un maître Ansei (les plus talentueux chantelames) lors du conflit généré par la mort de Randic Torn. De nombreux Ansei ont abandonné leur armes et son devenus des artisans. Certains, cependant, comme Hunding, ont cherché la véritable illumination à travers les temps sombres.[1]
En 1E 734, le père de Frandar est mort dans une des nombreuses révoltes après la mort de Torn, le laissant s'occuper de ses 4 frères et de sa mère. Il était très demandé en tant que garde ou escorte mais sa réputation le précédait. Nombreux était les personnes qui voulait l'affronter pour avoir une gloire instantanée en le battant.[1]
En 1E 750, Frandar avait combattu et gagné plus de 90 duels. Presque invincible avec une épée, il a gagné tellement de prestige et de maîtrise qu'il n'avait plus besoin de réelles armes. Il a créé et commencé à utiliser le Shéhaï, ou la "Voie de l'épée spirituelle". Il l'a utilisé dans son 90ème duel, il a combattu le vil seigneur Janic et ses 7 liches en même temps.[1]
Shéhaï[]
Le Shéhaï est une maîtrise magique où l'image d'une épée est formée par la simple pensée. Tous les chantelames "l'apprennent par leur entraînement et leur dévotion aux dieux de la guerre et à la voie de l'épée." Le Shéhaï permet de se concentrer et de créer une épée qui prend forme dans la main, "habituellement un objet pâle de lumière, brumeux et immatériel, une création splendide peut-être, mais ce n'est pas une arme". Ces Ansei de haut-niveaux et ceux qui sont talentueux en magie peuvent former une épée spirituelle. Le Shéhaï, est bien plus que de la simple lumière et de l'air, mais plutôt une arme imparable de grande puissance, et une arme qu'on ne peut prendre à son adversaire sans lui prendre son esprit.[1]
Exil[]
Après avoir atteint son but, être invincible, Frandar s'est tourné vers la philosophie de la Voie de l'épée spirituelle. Il a écrit ses connaissances dans le Livre des cercles pendant qu'il vivait en ermite dans les montagnes du haut désert en 1E 780. Cette année, après s'être enrôlé et avoir combattu dans de nombreuses batailles de l'empire (et les avoir toutes gagnées), il s'était cru prêt à mourir et s'était retiré dans la grotte afin d'écrire sa stratégie et ses visions mystiques pour les partager avec les autres chantelames. Après la finition de son parchemin, un chanteur, son propre fils Divad[2], l'a trouvé car ils avaient grand besoin de son aide.[1]
Armée du Cercle[]
"La Chasse aux épées de Torn avait séparé les Chanteurs du peuple, et l'ascension du Dernier empereur Hira déclencha le dernier grand conflit de l'empire du désert : l'empereur et sa consort Élisa firent un dernier effort pour arracher le contrôle de l'empire au peuple en détruisant les chante-épées. Hira jura de traquer chaque Chanteur avec son Armée de brigands, composée d'Orques et de réfugiés des guerres de l'empire, pour les faire disparaître de la surface de la planète."
Les chantelames étant un peuple du désert n'était pas très nombreux et l'enfance dans ces landes hostiles éliminait tous ceux qui n'étaient pas dotés d'une volonté de fer. Ainsi ce dernier conflit, qu'on appela « Guerre des Chanteurs », prit le peuple de l'épée par surprise. Ils n'étaient pas prêts à unir leur nombre et leur adresse pour constituer une armée capable de défendre leurs foyers et leur vie.
En raison des légendes sur son invincibilité sur le champs de bataille, il fut cherché et fut donné le commandement des Chanteurs. Il pu réunir les survivants des chanteurs en l'Armée du Cercle, appelée d'après son livre et ils ont appris la Voie de Hunding, ses stratégies et ses visions comme dans son livre des cercles.[1]
Guerre des Chanteurs[]
Hunding conçut un plan en sept batailles, entraînant les armées d'Hira de plus en plus loin dans l'immensité, jusqu'au pied du Mont Hattu, où se livrerait la dernière bataille. Hunding appela son plan « le Marteau et l'Enclume ». À chaque bataille, les Chanteurs de Hunding en apprenaient un peu plus sur ses stratégies et ses tactiques, amélioraient leur utilisation de la Shehai, et se préparaient à vaincre leurs adversaires à la septième bataille. Et ainsi arriva-t-il que les six premières batailles furent livrées, chacune se soldant ni par une victoire ni par une défaite, et menant à la suivante. L'armée imposante de Hira affrontait la modeste armée de Hunding. Dépassés à un contre trente, les chante-épée ne s'écartèrent jamais de la Voie. La scène était posée : Hira et son armée se placèrent au pied de Hattu, où le coup de marteau fut porté. La bataille fut rangée, et nombre de chanteurs trouvèrent la mort ce jour-là. Hunding savait que les Chanteurs survivants seraient peu nombreux, mais Hira et son empire maléfique n'y survivraient pas.[1]
Conséquence de la bataille[]
Après la bataille, Hunding survécut avec moins de vingt mille chante-épées, mais aucune armée maléfique n'était plus là pour piller et assassiner. Pplus de trois cent mille soldats avaient trouvé la mort ce jour-là sur Hattu. Quant aux survivants, ils furent éparpillés aux quatre vents, et n'avaient plus rien d'une force organisée. Hunding a rallié les Ra Gada pour exterminer des gobelins mais fut tué par l'abomination d'une tribu. Après la mort de son père, Divad pris le commandement des Ra Gada.
Les chante-épée plièrent leur tente, pleurèrent leurs morts, et suivirent Hunding à la grande ville portuaire d'Arche, dans la province de Largevent. Sachant qu'ils n'étaient plus les bienvenus dans l'empire du désert, ils partirent, pour ne survivre que dans les chants et les légendes. Les derniers grands guerriers, les chanteurs de la Shehai, le livre des Cercles, tous quittèrent l'empire qui n'appréciait pas leur vertu. Rouges, rouges de sang, voilà comment le bon peuple les voyait, indifférent au grand péril dont ils venaient de les sauver. Les Chanteurs jurèrent d'apprendre de nouvelles manières de se battre en traversant le grand océan vers leurs nouvelles terres. D'adopter un nouveau nom, mais d'honorer leur passé. En hommage à leur dernière bataille, ils baptisèrent cette terre Martelfell et se firent appeler les Rougegardes. En l'honneur de Hunding le grand prince guerrier, chaque maison de Martelfell possède une place près du foyer, une alcôve, une simple niche, juste assez grande pour accueillir le parchemin : le livre des cercles.[1]
Héritage[]
Il n'y a pas de doute sur son influence en Tamriel, sans lui, les chantelames n'aurait pas vaincu les armées de l'empereur Hira et n'aurait pas fui de Yokuda. Il ne serait pas arrivé en Martelfell et aucun des nombreux faits et accomplissements des Rougegardes ne seraient arrivés.
Il a aussi légué une grande variété de connaissances sur les épées et la combat. Comme le dit Dame Bénoch dans Paroles et Philosophie :
"Frandar Hunding répertorie trente-huit prises différentes, m'apprit-elle, mais aussi sept cent cinquante manœuvres d'attaque, huit cents manoeuvres de défense et près de neuf cents mouvements intermédiaires, tous essentiels à la bonne maîtrise de l'épée. Le combattant moyen ne connaît qu'une seule prise, qui a généralement pour seul avantage de lui permettre de ne pas lâcher son arme. Dans le même temps, il ne connaît qu'une seule manœuvre d'attaque et de défense : se jeter sur son adversaire et la fuite. Quant aux incessants mouvements qui constituent le rythme du combat, n'en parlons pas."[3]
Sur Stros M'Kai, une ville appelée Port Hunding a été construite, une statue dans la Baie Hunding a été érigé et la baie porte son nom.
Divad[]
Le fils de Frandar, Divad (aussi appelé Divad le Chanteur) est né en 1E 760. Comme son père il a aussi appris au Hall des Vertus Martiales, il aurait secrètement étudié le Shéhaï Shen She Ru - la Voie de l'épée spirituelle. L'empereur Hira a tenté de l'assassiner mais n'a pas réussit. Les Chanteurs, assiégés par l'empereur implorèrent Divad d'aller chercher son père dans sa retraite. Divad est devenu de plus en plus célèbre, cependant, ce qu'il a fait pour augmenter sa réputation comme celle de son père n'est pas connu.[2]
Remarques[]
- La majorité des informations sur Frandar Hunding viennent du livre Rougegardes, leur histoire et leurs héros.
- Le nom de Frandar Hunding est similaire à celui du dieu rougegarde Hoonding.
- Le personnage de Frandar Hunding serait basé sur le maître épéiste Miyamoto Musashi. Au Japon, il est considéré comme le plus grand guerrier du pays, il est le fondateur du Hyōhō niten ichi ryū, une école de maitrise du sabre. Il est aussi l'auteur du Livre des cinq anneaux.
Galerie[]
Voir aussi[]
- Yokuda
- Divad Hunding
- Livre des cercles
- Martelfell
Apparitions[]
Références[]
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