Gorvyn Dran est un Dunmer originaire de Serkamora chargé par son consul Déthisam Bérendas de prévenir les Éboulis de l'arrivée du fléau de Llodos. Il est le cousin de Dandrii Dran.
Interactions[]
Une lettre pour Deshaan[]
Le fléau de Llodos dévaste la campagne de Deshaan. Le Vestige a rencontré un habitant de la ville appelée le Serk, qui allait mettre les gens en garde contre le fléau.
Conversations[]
Une lettre pour Deshaan[]
Je viens d'arriver de Deshaan. Déthisam m'envoie. Peut-être avez-vous entendu parler de lui ? C'est le consul de la ville de Serkamora, le Serk. Je suis venu prévenir la population à propos du fléau de Llodos.
Le fléau de Llodos ? De quoi s'agit-il ? C'est une maladie terrible qui ravage la campagne de Deshaan. Écoutez, je dois envoyer un mot à ma cousine, Dandrii. Vous la trouverez au Serk. Pouvez-vous apporter cette lettre à ma cousine ? Ce serait bien aimable.
- Je peux livrer votre lettre.
Merci de votre aide. N'oubliez pas de dire à ma cousine que je vais bien. Si vous allez au sud, vous tomberez sur le Serk. Dites-lui que je reviendrai à la maison dès que je pourrai.
Pouvez-vous m'en dire davantage sur cette épidémie ? C'est grave. Les habitants de toute la région tombent malades, et on raconte que le fléau transforme les affligés en monstres ! Le consul de la ville, Déthisam, m'a envoyé chercher de l'aide et prévenir les autres agglomérations du fléau.
- Avez-vous trouvé quelqu'un qui pourrait vous aider ? Eh bien, à dire vrai, vous êtes la première personne que je croise, à part les bandits. Et les malades qui partent vers la zone de quarantaine. La rumeur du remède s'est répandue plus vite que la maladie elle-même, on dirait.
- Il y a un remède ? C'est ce que disent les Malmenait. Ils sont arrivés au Serk et ont installé une zone de quarantaine. Ils proposent un remède à tous ceux qui en veulent, mais Déthisam n'est pas convaincu qu'ils nous disent toute la vérité.
Comment avez-vous été blessé ? Des bandits. Ils m'ont dévalisé, et m'ont un peu frappé au passage. Mais ça ira. Quelques bleus ne suffiront pas à m'arrêter. J'ai une épidémie à endiguer. Mais c'est bizarre. Un des Malmenait avait une lettre de recrutement, je l'ai vue dépasser de son sac pendant qu'il me frappait.
Parlez-moi encore des Malmenait. Déthisam ne leur fait pas confiance. Et Aérona, sa sœur, non plus, si j'ai bien compris. Ils ont l'air trop beaux pour être vrais, mais ils affirment pouvoir guérir tous ceux qui ont contracté le fléau. Voilà pourquoi ils ont installé la quarantaine.
- Je n'ai jamais entendu parler des Malmenait. Moi non plus, avant qu'ils débarquent chez nous. On dirait une sorte de société bénévole, consacrée à l'aide des malades de Morrowind. Et maintenant que j'y pense, ils avaient beaucoup d'armes, pour des guérisseurs.