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Shéogorath est le Dieu fou, prince Daedra de la folie. Les Dunmers disent qu'il fait partie des quatre coins de la Maison des Troubles.
Il règne sur les îles Trémensides, mais il arrive souvent qu'il s'intéresse de près au monde des mortels.
Interactions[]
Connaissances oubliées[]
Un membre haut-placé de la guilde des mages, Valastë, souhaite que j'accomplisse une mission pour elle.
Simplement égaré[]
La première épreuve du Vestige au royaume de Shéogorath l'attend. Valastë et Shalidor ont découvert le moyen de le rendre là où il doit aller.
Le cirque du joyeux massacre[]
Le livre de Shéogorath, « Le cirque du joyeux massacre », est censé conduire le Vestige à l'épreuve suivante, « Le cirque du joyeux massacre ». Il va voir ce que ce dieu fou lui réserve cette fois-ci.
Conversations[]
En proie à la Folie[]
Lors d'une conversation entre Daraneth et le maire Aulus, il est révélé que Shéogorath possédait le corps de Daraneth avant sa rencontre avec le Vestige
<Shéogorath apparaît et ne possède plus Daraneth>
Shéogorath : Vous m'avez entendu ! J'ai toujours voulu rencontrer une personne à l'intérieur d'une personne. Dîtes-moi, ça fait quoi ?
Maire Aulus : Je... je regrette, Shéogorath ! Je pensais que vous m'aviez abandonné !
Shéogorath : Aulie, je vous ai laissé une langue qui rend les gens fous ! Mais si vous ne voulez plus de mon présent, je peux le reprendre dans votre bouche et le donner à mon nouveau mortel favori.
Maire Aulus : Non ! Pensez à tout ce que j'ai construit ici, les merveilleux cris que j'ai créés, en votre nom. Cela ne fait-il pas de moi votre favori ?
Shéogorath : Bon, très bien. Pardon, mon deuxième mortel favori ! On s'est bien amusés, mais vous pouvez tirer votre révérence.
Après avoir discuté avec Daraneth dans les catacombes : Quel désespoir ! Plus savoureux qu'un sorbet au fromage !.
- Si la quête Connaissances oubliées a été accompli.
Ça alors, mon vieil ami Chasse-Livres ! Ne faites pas cette tête, les ragnards risquent d'en prendre ombrage. Ils vous tomberaient alors dessus pour vous dérober votre or, quelques côtes et j'en passe… Sales bêtes. Elles n'ont aucune conversation, de surcroît.
- Sinon.
Je vois que vous avez refait connaissance avec Daraneth. On dirait que les choses ont mal tourné ! Allons, allons, elle finira par se radoucir à votre égard, comme je l'ai fait.
- Dans les deux cas.
Que voulez-vous ? Le maire Aulus, c'est le lait caillé dans la soupe, la mouche dans le petit-lait. Il a semé la zizanie avec mon don, un peu comme la mauvaise extrémité d'un cabot. J'ai même voulu l'encourager. Figurez-vous que je lui ai même apporté un héros à détruire ! Mais il n'a pas pu se résoudre à le faire. Vous imaginez ?
- Vous parlez de moi. Je vous ai mené ici pour rétablir la morosité ambiante… Qu'a-t-il fait pour vous arrêter ? Rien du tout ! Je me tenais là, vêtu de mes plus beaux atours de dame âgée, et il dit que c'est de ma faute ! Ah, il a juste besoin de motivation. Y a-t-il mieux qu'un fugitif qui a soif de vengeance ?
- Vous voulez que je le tue ? Pourriez-vous tuer l'être que vous aimez ? J'en suis incapable ! Bon, je l'ai déjà fait, mais pas le maire Aulus, ce serait un acte dépourvu d'imagination. Non, c'est vous qui le tuerez.
- Pourquoi devrais-je le tuer ? Je veux qu'il puise au plus profond, dans la marmelade des échecs cuisants qui jalonnent sa misérable existence, qu'il recouvre un germe de confiance, qu'il le fasse grandir en un arbre de jugeote dont il se servira pour réduire votre cerveau en bouillie. Mais sinon, n'importe quelle bouillie de cervelle fera l'affaire, même la sienne.
- Je le ferai si vous jurez de quitter Pointe-Sud pour toujours. Marché conclu ! Oh, une dernière chose : Daraneth doit rester en retrait. Si vous m'agacez trop, je la transformerai en dinde, je la rôtirai puis je vous la servirai sous un glaçage d'eidar. Je parle de la dinde, bien sûr. Il fait un peu trop frisquet pour mes braies en eidar.
- Comme vous voudrez.
Shéogorath : Et que ce soit distrayant, voulez-vous ? Après tout ce temps passé en ville, je sais enfin où les Coloviens rangent leurs chapeaux en fourrure.
Daraneth : Voilà l'occasion pour vous de tout arranger. Allez vous occuper du « maire ». Si Pointe-Sud l'ennuie, Shéogorath partira.
Dans les catacombes :
Shéogorath : Je m'ennuie déjà ! Tenez, je vous ai apporté des cadeaux. Ceux qui brillent sont toujours les plus beaux, vous ne trouvez pas ?
Shéogorath : De la hâte et du sang ! Voilà pourquoi vous êtes mon nouveau mortel préféré. Enfin, pour votre moral indéfectible. Mais surtout pour la hâte et le sang !
Juste avant de franchir le premier pont, Shéogorath le relève en s'exclamant : Le pont est tombé ! C'est mon ennui qui l'a emporté. Il s'est infiltré partout !
Si le Vestige lui adresse la parole :
Vous ne vous arrêtez jamais, n'est-ce pas ? Pas de repos pour les braves, comme on dit ! L'adversité vous colle à la peau !
Pourquoi faites-vous ça ? Eh, un vrai héros, il lui faut des obstacles, des dangers fréquents ! Vous allez jouer le rôle du vrai héros pour que Aulie puisse briller ! Sinon notre marché sera nul et non avenu. Et dans ce cas, aucune raison que la tête de Daraneth reste à sa place. On la retrouvera au milieu d'un champ, à Bordeciel, avec des baies dans les yeux !
En cherchant le levier pour abaisser le pont, Shéogorath peut être entendu en train de se plaindre : Êtes-vous vraiment obligé de vous traîner de la sorte ? Ayez un peu de panache ! Un peu d'exubérance !
Après avoir franchi le premier pont : Ce n'est vraiment pas votre jour. Mais votre oncle Shéogorath peut tout arranger.
Choix ou libre arbitre, quel dilemme. Lequel finira par l'emporter ? Et si vous tranchiez pour moi ? Vous pourriez aussi actionner un levier, mais ce serait beaucoup moins amusant.
Vous m'avez demandé de tuer le maire. Pourquoi jouez-vous à ce jeu ? Je vous le répète, j'accorde beaucoup d'importance au choix et au libre arbitre.\r\n\r\nVous pourriez donc combattre un vieil ami à moi, ou enclencher un autre levier. Vous choisissez !
- Je vais combattre votre ami. Merveilleux ! Dites-moi quand vous serez prêt, et je vous l'amène ici.
- Je suis prêt à me battre. Libre Arbitre ! Viens par ici, je veux te présenter quelqu'un !
- Je préfère actionner un autre levier. Bon, très bien. Mais agissez avec brio !
- Comme vous voudrez. Rappelez-vous, avec superbe ! De l'élégance, du panache !
En approchant de la porte menant à la cathédrale : Guère élégant. Mais un peu de verve, trois traits de brio… la base d'une fondue de splendeur. Mmm, de la fondue. Qu'est-ce que je disais, déjà ?
En entrant de nouveau dans la cathédrale :
Maire Aulus : Comment ça, pour me tuer ?
Shéogorath : C'est un don ! Une occasion de briller, de prouver que vous n'allez pas vous briser en deux au moindre coup de vent ! Vraiment, Aulie, je vous aime bien. Mmmh. Des olives. Qu'est-ce que je disais, déjà ?
Maire Aulus : Que vous m'appréciez. Que vous ne voulez pas me regarder mourir !
Shéogorath : Vous regarder mourir, tout seul, et rire aux éclats tout du long ? Ça ne me ressemble pas. Si ? Mais je suis sûr que vous pourrez résoudre le problème tout seul.
Maire Aulus : Je vous en prie, ne faites pas ça. On peut peut-être trouver un accord ?
Après avoir tué le maire : Oh, c'était passionnant ! Et déprimant. Pauvre Aulie, il n'a jamais su finir ce qu'il commençait. Vous êtes vraiment amusant à regarder !
Et c'est pourquoi vous êtes mon nouveau mortel favori. Quand vous tuez une créature remarquable, vous le faites de manière intéressante, fraîche. Voire même joviale, si j'ose dire ! Je devrais peut-être rester dans le coin pour assister à votre prochaine mise à mort !
Nous avions un accord. Vous croyez que je l'ai oublié, petite brindille stupide ? Vous me croyez du genre à oublier mes dettes, à retenir mon dû ? Ah, mais je vous pardonne. J'ai toujours dit que les rancœurs, comme les bons fromages, ne peuvent pas se conserver indéfiniment.
Si le Vestige laisse Aulus tenter de convaincre Shéogorath :
Maire Aulus : Shéogorath, j'ai réfléchi. Pointe-Sud ne peut pas vraiment apprécier votre présent. Mais si vous m'amenez aux îles Trémensides, je serai exactement à ma place !
Shéogorath : Vous voulez aller là où vous serez comme tout le monde ? Où vous pourrez être une poutre en lard fumé dans une maison construite tout en lard fumé ?
Maire Aulus : Non ! Je veux dire, réfléchissez à ce que je pourrais accomplir avec votre don dans un endroit qui me comprend vraiment.
Shéogorath : Eh bien, oui, vous feriez très joli dans le jardin. Très bien ! Le massacre est annulé. Je ne pourrais pas vous ramener chez moi avec plus de trous que vous n'en aviez à notre rencontre. Ça ne se fait pas.
Maire Aulus : Merci, Shéogorath ! Merci. J'ai hâte de voir mon nouveau foyer.
Shéogorath : Partez devant. Il me faut un moment pour discuter avec mon deuxième mortel favori. Ne faites pas attention aux grummites ! C'est leur odeur normale.
Le choix l'emporte encore une fois. Que d'émotions ! Allez-y doucement. Un coup de trop et le sang gicle partout, sauf vers le haut. Honnêtement, j'admire ce village. Dommage que je ne puisse pas l'emporter avec moi. Quoique… Réflexion faite, je sais exactement où je vais le mettre !
Nous avions un accord. Ah oui, vraiment ? J'imagine que vous avez raison. Aulie et moi pourrions toujours aller faire un tour. Peut-être pendant la saison des ouragans ! Ce serait charmant.
Connaissances oubliées[]
En explorant le gouffre du creux du Frometonneur, le Vestige fit la rencontre de Shéogorath et de Tranche-tripes, son faucheclan.
Regarde, chiot, quelqu'un pour jouer avec toi !
Le chiot ne t'aime pas, pas vrai ?
Après avoir vaincu le faucheclan, le Vestige s'en alla récupérer les tomes. À peine eut-il pris l'un d'eux, Shéogorath lui apparut.
Tiens, tiens... Qu'est-ce que c'est que ça ?
Tueur de chiot ! Vous venez voler mes livres ! Qui ? Où ? Quoi ? Quand ? Et parfois pourquoi ? Parlez ! Mieux vaut être honnête, pour ce que vous en savez.
Je viens chercher quatre tomes pour le compte de Shalidor. Shalidor ! Je connais ce Nordique prétentieux depuis longtemps ! Je sais ce qu'il veut. Oh que oui... son île. Il veut la récupérer. Oh, que j'aime les défis !
- Très bien. Je vais juste les prendre avec moi, donc. Où est le défi là-dedans ? Écoutez un peu... Je vous donnerai un livre en échange de votre cœur ou de vos poumons. C'est vous qui choisissez. Non, attendez ! J'ai une meilleure idée ! Faisons un concours. Un concours autour d'une énigme, avec une touche de mystère. Comme nous allons bien nous amuser !
- Quel genre de concours ? Quelques tâches à accomplir, un piège mortel par-ci par-là. Rien d'aussi difficile que de remonter le Bâton du chaos ou de reconstruire le Numidium. Prenez le premier livre. Tueur de chiots. Et je vous donnerai un autre livre pour chaque épreuve réussie. Vous êtes partant ?
- Je suppose... d'accord. Excellent ! Chou et fromage pour tout le monde ! Mais attendez ! Nous devrions informer Shally-dorable de notre accord. Avec un peu de chance, il en mourra à nouveau d'embarras !
- Je ne suis pas sûr que ce soit comme ça que ça marche. J'ai hâte de voir sa tête ! Si elle est assez jolie, je pourrai la monter sur mon mur.
- Je suppose... d'accord. Excellent ! Chou et fromage pour tout le monde ! Mais attendez ! Nous devrions informer Shally-dorable de notre accord. Avec un peu de chance, il en mourra à nouveau d'embarras !
- Quel genre de concours ? Quelques tâches à accomplir, un piège mortel par-ci par-là. Rien d'aussi difficile que de remonter le Bâton du chaos ou de reconstruire le Numidium. Prenez le premier livre. Tueur de chiots. Et je vous donnerai un autre livre pour chaque épreuve réussie. Vous êtes partant ?
Shéogorath invoqua Shalidor dans son royaume.
- Archimage Shalidor: Que signifie ceci ? Shéogorath !
- Shéogorath: Vous y avez pensé ! Ah, Shalidor. Jamais une lettre, jamais une visite... Je viens de passer un accord avec votre cher larbin (chère bonniche), là. Depuis combien de temps, désiriez-vous ces livres ? Une éternité ?
- Archimage Shalidor: Vos « marchés » ne sont pas très équitables. Quelle farce avez-vous préparé, cette fois ?
- Shéogorath: Considérez cela comme une aventure ! Et ne vous inquiétez pas. J'ai une surprise pour vous aussi. J'ai placé une petite malédiction sur ces livres. Toute petite ! Pour rester simple, Shal : vous ne pourrez jamais lire ces livres !
- Archimage Shalidor: Soyez maudit, Dieu fou !
- Shéogorath: C'est assommant ! Soyez plus imaginatif, Shal. Du genre « Soyez maudit, Dieu fou ! Puissiez-vous devenir un fromage à jamais rongé par des ragnards ! » Malheureusement, je n'ai plus le temps de vous aider à vous améliorer. À bientôt.
Simplement égaré[]
Regardez, Haskill ! Fourchon est de retour ! Qu'il est bon de le revoir ! Oh, et vous aussi, mortel. J'allais vous oublier.
Oui, les voilà. Merveilleux ! Je vais juste prendre... Fourchette ! Oh, tu m'as tellement manqué ! Ne nous quittons plus jamais. Ça me donne la chair de poule de te tenir !
- Et ce bâton ? Ahh, le Wabbajack. Maleel l'a gardé trop longtemps dans cette tombe poussiéreuse... Dites, pourquoi vous ne le remettriez pas en jambes ? Prenez-le, et utilisez-le sur ces prêtres hautains, voulez-vous ?
- Dans quoi est-ce que je me lance ? Ne vous inquiétez pas. Le Wabbajack... il libère le potentiel de chacun. L'essence ignorée de la beauté artistique qui sommeille et palpite dans le... Bon, vous voulez le livre ? Allez flanquer quelques coups de Wabbajack.
- Si vous insistez.
- Dans quoi est-ce que je me lance ? Ne vous inquiétez pas. Le Wabbajack... il libère le potentiel de chacun. L'essence ignorée de la beauté artistique qui sommeille et palpite dans le... Bon, vous voulez le livre ? Allez flanquer quelques coups de Wabbajack.
Tout bonnement captivant !
Le Vestige testa le Wabbajack.
Un peu rouillé, mais tout à fait honorable ! Il est si amusant d'observer les mortels se débattre avec des choses qui dépassent leur entendement. J'ai besoin de récupérer ceci, à présent.
Voilà. Et, comme promis : le livre. Allez-y. Prenez-le !
- Merci. Une fois qu'il sera à vous, je vous renverrai aussitôt en Tamriel. Il suffit d'ouvrir un livre pour se croire transporté dans un autre monde... Retenez votre respiration, fermez les yeux, et comptez jusqu'à... disons, un million ?
- Ça va ? Eh bien quoi ? Vous espériez qu'on tricote un chandail en vous attendant ? Non mais soyons sérieux ! Est-ce que j'ai l'air d'aimer le tricot !
Le cirque du joyeux massacre[]
Bienvenue, bienvenue au Cirque du joyeux massacre ! En scène, mon ami mortel. Le spectacle va commencer et c'est vous la vedette !
Un spectacle ? Quel spectacle ? Vous allez jouer ma pièce. C'est moi qui l'ai écrite. Je l'appelle « La Folie de l'isolement ». C'est à la fois une tragédie et une comédie. Une tramédie !
- Pourquoi fais-je cela ? Vous voulez le tome suivant, non ? Et moi, j'ai besoin de distraction ! Au bout d'un moment, mettre le feu au prince Maleel, là, ça devient lassant. Je suis sûr que vous comprenez.
- Que voulez-vous que je fasse, exactement ? Avant de parler de votre motivation, nous devons planter le décor. Le décor : Tamriel. Les trois alliances sont en guerre, et la gentille petite guilde des mages veut rester neutre. Elle veut rester indépendante.
- La pièce parle des alliances. Oh, vous écoutez ce que je dis ! Alors, c'est une pièce en trois actes. Dans chaque acte, vous isolerez la guilde de ces fils de vers à soie assoiffés de sang, politiques et belliqueux. En les tuant.
- En les tuant ? Mais en tuant qui ? Oh, tout le monde ! Jusqu'aux fâcheux eux-mêmes. Mais rappelez-vous : suivez la trame. Ne tuez personne si ça ne fait pas partie de la pièce. Allons, en route ! J'ai hâte de voir votre performance. Tenez, Maleel va vous éclairer en chemin.
- La pièce parle des alliances. Oh, vous écoutez ce que je dis ! Alors, c'est une pièce en trois actes. Dans chaque acte, vous isolerez la guilde de ces fils de vers à soie assoiffés de sang, politiques et belliqueux. En les tuant.
- Que voulez-vous que je fasse, exactement ? Avant de parler de votre motivation, nous devons planter le décor. Le décor : Tamriel. Les trois alliances sont en guerre, et la gentille petite guilde des mages veut rester neutre. Elle veut rester indépendante.
Shéogorath mit le feu à Maleel.
- Maleel al-Akir: Mon âme s'embrase !
- Shéogorath: N'oubliez pas d'allumer le braséro ! Oh, imbécile. Ha ! Apparemment, il n'a pas pris une ride. Je vous retrouverai un peu plus loin, à Cœuravreaume, la ville du Pacte pleine d'animation !
Le Vestige retrouva Shéogorath à Cœuravreaume.
Pouvons-nous lever le rideau et entamer le premier acte ?
Je suis prêt. Notre préambule met en scène le Pacte de Cœurébène. Ha ! Ça rime. Je suis un poète, et je ne le savais même pas.
- Vous voulez que je combatte l'alliance au complet ? Ne soyez donc pas présomptueux, mortel, ou je vous bannis sur l'île des Bardes Libidineux. Ahem. Comme je le disais : le rideau se lève sur nos amis du Cœurébène en paix. Tous sont alliés. Mais historiquement, ils sont à couteaux tirés depuis toujours.
- S'ils sont en paix, que puis-je faire ? Esclavage, échauffourées frontalières et luttes intestines les ont placés au seuil du chaos. Il suffira de les... pousser... un peu. Je me suis donné un rôle, petit mais essentiel. Si vous voulez bien m'excuser...
Shéogorath s'adressa à ses acteurs.
- Shéogorath: Hé ! Vous vous détestez ! L'avez-vous oublié ?
- Soldat du Pacte: Oh oui ! Attrapez-les !
- Shéogorath: Allez-y, joignez-vous à ce fracas ! C'est votre moment de gloire. Action !
Le Vestige triompha des soldats du Pacte.
- Shéogorath: Splendide, oui splendide ! Attendez un instant ! Quelqu'un approche ?
- Jorunn le Roi-scalde: Pourquoi vous battez-vous, sales chiens buveurs de lait ?
- Shéogorath: Oh, rien de plus simple, mon roi. La guilde des mages est responsable de cette querelle de clocher.
- Jorunn le Roi-scalde: La guilde des mages ? Ce doux chiot ? Si vous cherchez les ennuis, vous les trouverez ! Pour le Pacte !
Le Vestige tua les acteurs principaux du Pacte.
Dépêchons ! Le spectacle doit continuer !
Le Vestige retrouva Shéogorath au Foyer de Faneciel.
L'heure de l'entracte a sonné. Puis-je vous offrir un morceau de fromage ?
On ne peut pas avancer un peu ? Pas le temps de bavarder ? D'accord, d'accord. Cet acte nous présente le Domaine aldmeri. Des chats et des Elfes ! Je n'ai jamais aimé l'un ou l'autre, à vrai dire mais... Trop de poils et trop d'ego.
- Et mon rôle est de tuer d'autres de vos acteurs ? Voyons comment l'intrigue avance. La scène : la reine Ayrenn parle à certains de vos pairs. Puisque vous maîtrisez comme personne l'improvisation, vous devriez répondre à ses sincères déclarations comme vous l'entendrez. Et... action !
- Reine Ayrenn: La guilde des mages ne peut pas attaquer le Domaine si facilement. Vous faites partie de ce monde, que cela vous plaise ou non.
- Sorcier de la guilde des mages: Ma reine, vous ne comprenez pas. La guilde ne fait partie d'aucune alliance. Nous cherchons simplement à étudier en retrait.
- Shéogorath: Hé ! Silence devant ! J'essaye d'écouter le discours de la reine !
- Reine Ayrenn: Soit vous êtes allié au Domaine, soit vous êtes son ennemi. Préférez-vous en finir avec votre vie ? Soit, je vais le faire à votre place.
L'actrice de la reine Ayrenn tua les acteurs des sorciers.
- Reine Ayrenn: Vous ne pouvez pas faire fi du monde qui vous entoure !
- Shéogorath: Hé, reinette ! Vous avez raté un mage ! C'est aussi un membre de la guilde.
- Reine Ayrenn: Ah. Bonne prise, bouffon. Soldats ! Offrez à ce mage le présent de l'exil.
Quelle outrecuidance ! Razum-dar, capitaine Odreth ! Occupez-vous de ce serf.
Vous avez tué mon chat adoré ! Un animal pourtant si fidèle.
Je vais devoir m'en charger personnellement. Venez vous mesurer à Ayrenn Arana Aldmeri au sommet de sa gloire !
Le Vestige vint à bout de tous les membres du Domaine.
Et... action ! Poursuivons.
Le Vestige trouva Shéogorath à Dagaltevance.
Le troisième acte me rend toujours triste.
Comment cela ? Parce que cela signifie que la pièce touche à sa fin. Je m'amuse tellement que je voudrais ne la voir jamais finir ! Sans parler des saynètes de transition ! Avez-vous apprécié mes petites représentations illusoires ? Très... Très enrichissantes, je trouve.
- Oui, oui. Et dans cet acte, que dois-je faire ? Je pourrais vous le dire, mais je vais faire mieux que ça : je vais vous le montrer. C'est toute l'essence de la narration. Montrer, ne pas dire. Vous vous croyez dans une pièce amateur ?
- Franchement, je ne sais pas. Eh bien non. C'est une production très professionnelle ! Dont vous êtes la vedette. Je vais planter le décor. Nous improviserons ensuite. Rappelez-vous : montrer, ne pas dire.
Shéogorath présenta la scène.
- Shéogorath: À gauche de la scène, nous avons Vanus, fondateur de la guilde des mages ! À droite de la scène, nous avons notre très vieil ami, l'archimage Shalidor ! Et au fond, nous avons Valastë, votre nouvelle amie et confidente à la guilde des mages ! Qu'est-ce donc ? Mais c'est le roi Émeric et ses amis de l'Alliance de Daguefilante ! Oh, pour sûr, il a de tendres paroles à partager. C'est à vous, Majesté !
- Roi Émeric: Pour avoir fait usage de sorcellerie, nous vous condamnons au bûcher. Que votre corruption soit purifiée de cette terre une bonne fois pour toutes !
- Shéogorath: Tout le monde vous rejette, on dirait. Ha ! Voici comment se déroule la scène finale. Sauvez vos amis. Je vous donnerai ensuite mon livre.
- Vanus Galérion: Shéogorath est bien plus malin que moi... Devant lui, je ne suis qu'un enfant...
Après avoir tué les acteurs de l'Alliance, le Vestige parla à Shéogorath.
Bravo ! Mes félicitations à l'auteur ! Mais j'y pense... il s'agit de moi !
J'ai fait ce que vous voulez. Puis-je avoir le tome, à présent ? Hmfff. Je ne sais pas. J'ai trouvé que votre performance manquait de conviction, à certains moments. Et vous avez refusé de manger du fromage avec moi !
- Nous avions un accord. Oui, oui, oui. Vous m'avez bien fait rire. Et pleurer. Et donner un coup de pied à Maleel dans la tête. Je ne pouvais pas vraiment demander mieux. Prenez votre livre. Ne mangez pas tout d'un coup !
- Comment puis-je partir d'ici ? Ce livre vous ramènera d'où vous veniez, il connaît le chemin. Mais rappelez-vous, petit acteur, il reste un dernier livre. Si vous trouviez ma pièce cruelle, attendez de voir la suite. Ha, ha, ha !
Le château du Rongeur affamé[]
Shéogorath apparut à Shalidor et au Vestige à leur arrivée au château du Rongeur affamé.
- Shéogorath: Pas si vite, Shalidor. Seuls les convives sont autorisés au château. Nous avons des règles à respecter.
- Archimage Shalidor: Sois maudit, Dieu fou !
- Shéogorath: Attention à ce que la porte ne vous heurte pas en repartant, Shally. Eeeeeeeeeet... allez-y !
Shéogorath chassa Shalidor de son royaume.
Nous sommes seuls tous les deux. Nous pouvons maintenant discuter tranquillement.
Ah, mon petit mortel. Mes personnalités sont légion, mais toutes vous adorent.
Que me voulez-vous encore, Shéogorath ? Nous devons nous mettre à pied d'œuvre ! et à jambe ! et à toutes sortes de membres tranchés, en fait. Mais ne vous inquiétez pas ! Je vous ai fait venir ici parce que je vous observais. Vous travaillez trop dur. Vous avez besoin de vacances.
- Des vacances ? Bien sûr ! Nous sommes dans mon château ! Ce sont les terres de ma famille. Je me les transmets de génération en génération, et ainsi de suite. Je pense que vous allez vous y plaire. Ou pas. Enfin, l'un ou l'autre.
- D'accord. Par quoi commence-t-on ? La maison des invités se trouve sur la route, derrière moi. Mais, que je suis bête. Les trois pièces sont déjà occupées. Franchement, je pense qu'ils abusent de mon hospitalité. Mais l'un des trois est vraiment déplacé. Oh ! Vous pourriez me rendre un petit service et leur dire de... décamper ?
- Où est le piège ? Le piège ? Pff, ce que vous êtes méfiant ! Le seul piège, s'il doit y en avoir un, c'est que deux de mes invités sont des tueurs cannibales. Mon conseil, c'est de ne pas les laisser vous manger. Si quelqu'un essaie de vous tuer, tuez-le d'abord.
- Je m'en souviendrai. Essayez de vous relaxer, ne l'oubliez pas !
- Où est le piège ? Le piège ? Pff, ce que vous êtes méfiant ! Le seul piège, s'il doit y en avoir un, c'est que deux de mes invités sont des tueurs cannibales. Mon conseil, c'est de ne pas les laisser vous manger. Si quelqu'un essaie de vous tuer, tuez-le d'abord.
- D'accord. Par quoi commence-t-on ? La maison des invités se trouve sur la route, derrière moi. Mais, que je suis bête. Les trois pièces sont déjà occupées. Franchement, je pense qu'ils abusent de mon hospitalité. Mais l'un des trois est vraiment déplacé. Oh ! Vous pourriez me rendre un petit service et leur dire de... décamper ?
Le Vestige entra dans l'annexe du château.
- Archimage Shalidor: Prudence. Prenez bien soin de parler à ces « convives » avant de chasser qui que ce soit.
- Shéogorath: Je vous entends, Shally ! N'importunez pas mes convives !
- Archimage Shalidor: Vous êtes le seul à rire à vos propres blagues, Dieu fou !
Le Vestige expulsa le convive inopportun.
Cela faisait bien longtemps que nous n'avions pas eu d'invités. Vous auriez adoré mon vieil oncle Léo, au bon vieux temps. Un convive charmant, quand il ne régurgitait pas ses anciennes compagnes. Croyez-moi, mon beau tapis en a vu de toutes les couleurs.
J'ai expulsé votre invité. Et maintenant ? Eh bien, voyons. À présent que vous êtes installé, vous devriez visiter la propriété. Nous avons un charmant petit labyrinthe, au château. Vous ne pouvez pas le rater.
- Alors je dois parcourir un labyrinthe ? Pourquoi ? Pourquoi devrais-je avoir une raison pour tout ? Ah là là, ces mortels ! Toujours à demander des raisons. Par exemple : les gens pensent que la lumière fait fuir l'ombre. Je préfère penser que s'il n'y avait pas quelques lumières, on ne pourrait pas profiter de l'ombre.
- Donc, le labyrinthe sera dans l'obscurité ? Oh, vous avez compris ! Je savais qu'à force de passer du temps avec moi, vous finiriez par penser comme moi. J'ai cet effet-là, sur les gens. Il fait un peu sombre, d'ailleurs. Vous ne pourriez pas allumer quelques braseros en chemin ? Ça améliorerait l'ambiance.
- Comme vous voudrez. Attention à ce qui heurte dans la nuit !
- Donc, le labyrinthe sera dans l'obscurité ? Oh, vous avez compris ! Je savais qu'à force de passer du temps avec moi, vous finiriez par penser comme moi. J'ai cet effet-là, sur les gens. Il fait un peu sombre, d'ailleurs. Vous ne pourriez pas allumer quelques braseros en chemin ? Ça améliorerait l'ambiance.
Le Vestige pénétra dans le labyrinthe.
- Archimage Shalidor: Vous avez déjà affronté l'obscurité avant, adepte. Souvenez-vous de votre entraînement.
- Shéogorath: Il est interdit de tricher, Shalidor ! Ne gâchez pas mon plaisir.
Le Vestige alluma deux braseros sur quatre.
- Archimage Shalidor: Plus que deux. Cette épreuve est un jeu d'enfant.
- Shéogorath: Je vais vous condamner à hanter une petite dame âgée à Haltevoie ! La perspective vous réjouit, hein Shally ?
Le Vestige traversa le labyrinthe.
Alors... qu'en pensez-vous ? Quelle est votre pièce préférée ? Non, ne vous donnez pas la peine de répondre. Votre enthousiasme se lit dans votre regard !
Je suis ressorti. Et maintenant ? Quelle confiance ! Braggadocio ! Des tripes ! Ça me plaît bien ! Le dernier endroit que j'aimerais vous faire visiter est mon humble petit manoir. Juste derrière moi.
- C'est un manoir, ça ? Je veux vous présenter ma famille ! J'ai tant de bons souvenirs. Une fois, avec un scalpel... et tous nos repas de famille, ha ! Et bien sûr, vous allez pouvoir jouer avec tout ce dont j'ai hérité !
- Hérité ? Mais oui ! Il y a même un petit poème à propos d'un machin. Attendez. « Quatre lumière alignées, touchez-en une pour l'allumer. » Ah non, c'est pas ça. Non, c'était peut-être... « Quatre lumières dans l'évier, touchez-en une, vous l'éteignez ? » Enfin bon, quelque chose comme ça.
- Je vais tâcher de m'en souvenir. Souvenez-vous, pour profiter de ses vacances, il faut savoir savourer de courts instants !
- Hérité ? Mais oui ! Il y a même un petit poème à propos d'un machin. Attendez. « Quatre lumière alignées, touchez-en une pour l'allumer. » Ah non, c'est pas ça. Non, c'était peut-être... « Quatre lumières dans l'évier, touchez-en une, vous l'éteignez ? » Enfin bon, quelque chose comme ça.
Le Vestige explora le presbytère ancestral.
- Archimage Shalidor: Pauvres âmes. La « famille » de Shéogorath.
- Shéogorath: Pourquoi vous revenez sans cesse ici ? J'en tiens Haskill pour responsable.
- Archimage Shalidor: Apparemment, vous ne contrôlez pas tout !
- Shéogorath: Non, pas encore.
Le Vestige alluma tous les souvenirs de famille.
Ils sont adorables, vous ne trouvez pas ?
N'est-ce pas magnifique ? C'est le joyau du château. Vous comprenez à présent pourquoi nous sommes restés ici toutes ces années.
Super. Je peux avoir le livre, maintenant ? Attendez un peu. Vous ne vous demandez pas pourquoi ça s'appelle le Château du Rongeur affamé ?
- Je crois savoir. J'espère bien ! Et avant que je vous donne le dernier livre, avant que je vous récompense, Shally et vous, pour tout ce travail, vous devez rencontrer un dernier membre de ma famille. Je vais vous parler de mon vieil oncle Léo.
- Vous pouvez me le faire court ? Rabat-joie. Disons qu'oncle Léo a une longue expérience avec ces dames. Depuis sa dernière compagne, il préfère la compagnie des couineurs à celle des couineuses. Et je l'ai transformé en atronach de chair.
- Oncle Léo aime les rats. J'ai compris. Un peu trop, je dirais. La famille commence à avoir honte. Alors en tant que dernier geste de courtoisie... allez tuer oncle Léo, voulez-vous ?
- Finissons-en.
- Oncle Léo aime les rats. J'ai compris. Un peu trop, je dirais. La famille commence à avoir honte. Alors en tant que dernier geste de courtoisie... allez tuer oncle Léo, voulez-vous ?
- Oh, ça a l'air amusant. Je vous écoute. Ah, un mortel comme je les aime. Eh bien, oncle Léo était un sacré séducteur, à son époque. Il avait une belle dans chaque ville, de Vendeaume à Fort-Tempête. Au fil des ans, il a perdu de sa superbe, et il a eu de plus en plus de mal à... vous savez.
- Oui, je sais. Bon. Eh bien, puisqu'il n'avait plus l'attention des dames, ça lui manquait, et il a commencé à perdre un peu la boule. Et c'est là que je suis arrivé. Je ne pouvais pas laisser mon cher oncle Léo tout seul, quand même ?
- Oui, non, enfin... Alors je lui ai proposé quelque chose. Je lui ai rendu sa beauté et sa jeunesse. En échange, il lui suffisait de promettre de ne jamais partager la couche d'une femme plus d'une fois. C'était plutôt simple, et il l'a bien pris. Ha ha ha. Jusqu'au jour où il a rencontré Mjoll.
- Il est tombé amoureux ? Un fromage pour le petit ragnard malin ! Léo n'a pas pu lui résister. Il pensait se tirer de notre accord s'il se mariait. Mais non ! Sa chair a fondu comme de la cire pendant sa nuit de noces. C'est devenu mon petit atronach de chair. Et maintenant ? Toutes ses petites amies sont des rats.
- Vous l'avez transformé en atronach de chair et maintenant il aime les rats ? Un peu trop, je dirais. La famille commence à avoir honte. Alors en tant que dernier geste de courtoisie... allez tuer oncle Léo, voulez-vous ?
- Finissons-en.
- Vous l'avez transformé en atronach de chair et maintenant il aime les rats ? Un peu trop, je dirais. La famille commence à avoir honte. Alors en tant que dernier geste de courtoisie... allez tuer oncle Léo, voulez-vous ?
- Il est tombé amoureux ? Un fromage pour le petit ragnard malin ! Léo n'a pas pu lui résister. Il pensait se tirer de notre accord s'il se mariait. Mais non ! Sa chair a fondu comme de la cire pendant sa nuit de noces. C'est devenu mon petit atronach de chair. Et maintenant ? Toutes ses petites amies sont des rats.
- Oui, non, enfin... Alors je lui ai proposé quelque chose. Je lui ai rendu sa beauté et sa jeunesse. En échange, il lui suffisait de promettre de ne jamais partager la couche d'une femme plus d'une fois. C'était plutôt simple, et il l'a bien pris. Ha ha ha. Jusqu'au jour où il a rencontré Mjoll.
- Oui, je sais. Bon. Eh bien, puisqu'il n'avait plus l'attention des dames, ça lui manquait, et il a commencé à perdre un peu la boule. Et c'est là que je suis arrivé. Je ne pouvais pas laisser mon cher oncle Léo tout seul, quand même ?
- Vous pouvez me le faire court ? Rabat-joie. Disons qu'oncle Léo a une longue expérience avec ces dames. Depuis sa dernière compagne, il préfère la compagnie des couineurs à celle des couineuses. Et je l'ai transformé en atronach de chair.
Transmettez tout mon amour à ce vieux croûton avant de lui arracher le crâne, d'accord ?
Le Vestige triompha de l'oncle Léo.
Bien joué ! La famille serait fière si vous n'en aviez pas assassiné la grande majorité.
C'est toujours triste de voir mourir un brave homme. La mort de Léo ? Hilarante ! Ha.
J'ai visité le château. Je peux avoir le livre, maintenant ? Je devrais vous forcer à combattre des narvals dans l'océan. Je devrais vous faire passer entre les mains de concubines argoniennes enragées. Enfin, bon. Tenez, voilà le livre.
- Merci. Oui, oui. Je suis sûr que Shalidor et vous serez très heureux avec votre petit livre. Bien sûr, c'est Valastë qui a tout lu, non ? Passez-lui mon bonjour. Et dites-lui de lire celui-là bien attentivement. Mes meilleures pensées à Valastë !
Le pacte du Dieu fou[]
Shéogorath confronta Shalidor à Eyévéa.
- Archimage Shalidor: Ce n'était pas le marché, Dieu fou ! Vous devez partir d'ici.
- Shéogorath: Prudence, mage. N'oubliez pas qui je suis. Notre ami mortel est arrivé ! Silence, maintenant, Shally. Les adultes ont la parole.
Ah, bien. Nous allons pouvoir discuter entre personnes sensées. Ce vieux croulant de Shalidor est trop grincheux à mon goût.
Qu'est-ce que vous faites ici, Shéogorath ? Nous avions un accord. Vous savez, les accords, c'est rigolo. C'est vraiment le genre de choses qu'il faut mettre par écrit. J'avais dit que si vous terminiez les épreuves, vous trouveriez l'île. Les portails vers le cœur d'Oblivion que vous trouverez un peu partout par ici ? C'est une sorte de bonus.
- Alors c'est une nouvelle épreuve, hein ? Si vous voulez voir les choses comme ça, bien sûr ! Encore une épreuve. Je suis sûr que Valastë – coucou ma chérie... Je suis sûr que Valastë et vous n'aurez aucun problème à refermer les portails. Sérieusement, je suis un peu surpris que la maîtresse des incunables ne l'ait pas vu venir.
- Pourquoi vous intéressez-vous tellement à Valastë ? Aucune raison. Qu'est-ce que vous sous-entendez ? Que ma décision de maudire les livres était préméditée ? Ce vieux fou de Shéogorath savait qu'il n'y avait qu'une poignée de gens dans la guilde capable de faire ce qu'elle a fait ? Tsk tsk... Ce serait de la folie !
- De quoi parlez-vous ? Oh, je suis sûr que vous allez comprendre. Vous avez été plus malin que ce vieux fou de Shéogorath, hein ? Enfin, bref, tirez les cristaux pour fermer les portails. Amusez-vous bien, à bientôt !
- Attendez, qu'est-ce que vous vouliez dire, à propos de Valastë ?
- De quoi parlez-vous ? Oh, je suis sûr que vous allez comprendre. Vous avez été plus malin que ce vieux fou de Shéogorath, hein ? Enfin, bref, tirez les cristaux pour fermer les portails. Amusez-vous bien, à bientôt !
- Pourquoi vous intéressez-vous tellement à Valastë ? Aucune raison. Qu'est-ce que vous sous-entendez ? Que ma décision de maudire les livres était préméditée ? Ce vieux fou de Shéogorath savait qu'il n'y avait qu'une poignée de gens dans la guilde capable de faire ce qu'elle a fait ? Tsk tsk... Ce serait de la folie !
Shéogorath laissa le Vestige sans réponse. Plus tard, le Vestige défia Shéogorath dans la maison de guilde.
- Shéogorath: Ah, mortel adoré. Shalidor a enfin trouvé un moyen de vous faire entrer. Vous venez pour me sortir d'ici, je le sais bien. Mais je ne suis pas féru de combats. Haskill ?
- Haskil: Très bien, monsieur. Hem... Défendez-vous, adepte. Nous allons nous affronter au cours d'un combat honorable. Soyez sur vos gardes.
Le Vestige affronta Haskill.
Haskill, Haskill, montrez-leur ce dont le Wabbajack est capable !
Les porcs, Haskill ! Des porcelets qu'on étreint et qu'on écrabouille !
Vous vous êtes surpassé. Haskill n'a jamais été à ce point en colère ! Enfin, contre quelqu'un d'autre que moi, je veux dire.
Le Vestige triompha de Haskill.
- Shéogorath: Bon, ça suffit. Cessez de vous battre, vous deux !
- Archimage Shalidor: Trêve de jeux, Shéogorath. Vous allez nous céder l'île, oui ou non ?
- Shéogorath: Bon, très bien. Calmez-vous, je vais faire mes bagages et m'en aller. Valastë ! Très chère, vous voulez bien venir ?
- Valastë: Oncle Shéo ? Nous partons quelque part ?
- Shéogorath: Oui, petite créature. Vous allez m'accompagner, nous retournons aux îles Trémensides ! Charmante idée, n'est-ce pas ?
- Archimage Shalidor: Arrière, Dieu fou ! Valastë ne vous appartient pas !
- Shéogorath: Ne l'est-elle pas, pourtant ? On le voit sur son visage, on le respire dans l'air. Elle est folle à lier, c'est une désaxée, une aliénée. Pendant tout ce temps, elle a lu les histoires de l'oncle Shéo et maintenant, elle a hâte de partir. Direction : mes îles Trémensides.
- Valastë: Oh oui ! Je veux partir avec l'oncle Shéo ! Il a plein de papillons, je les adore !
- Shéogorath: Hum. C'est une devinette, une énigme, un... choix, même. Bon, écoutez, mortel, vous n'avez qu'à choisir, hein ? Valastë doit-elle rester ? Ou m'accompagner dans ces îles merveilleuses ? Donnons plus de saveur à ce marché. Vous décidez qu'elle reste et je la soigne. Eh oui ! Oncle Shéo va rendre la raison à cette Valastë soporifique qui n'a que ses livres pour amis.
- Archimage Shalidor: Et si l'adepte décide qu'elle vous accompagne ?
- Shéogorath: Eh bien, il se trouve que j'ai un livre supplémentaire. Je vous le donnerai en échange de Valastë. Il s'intitule... le Folium Discognitum.
- Archimage Shalidor: Shéogorath, espèce de salaud ! Vous me jetteriez le Folium au visage une nouvelle fois, après toutes ces années ?
- Shéogorath: J'en suis l'auteur. C'est un artefact bien charmant très puissant qui instille la connaissance de la folie chez le lecteur ! Il vaut au moins, euh, quatre à cinq fois plus que ces éclats célestes que vous, aventuriers, cherchez si souvent. Alors ! Valastë reste et je la soigne. Ou alors elle m'accompagne et vous, petit mortel, gagnez en puissance. C'est à vous de voir !
Après avoir parlé à Valastë et Shalidor, le Vestige fit son choix.
Avouez-le... vous avez été surpris, n'est-ce pas ? Vous auriez dû voir votre tête !
Pouvons-nous en discuter ? Bien sûr, bien sûr ! Que dire ? Histoire de vous prévenir, pendant que vous parlez, je vais imaginer qu'il y a une toute petite personne en vous, qui agite votre bouche comme une marionnette. Ça m'évite de m'endormir.
- Où est le piège ? Il n'y a pas de piège, mortel ! Pas cette fois. Écoutez, quoi que vous décidiez, Shalidor saura toujours que je l'ai eu. Une fois de plus. C'est contre ça que je vous échange cette île. Ça... ça, c'est entre nous deux.
- Parlez-moi encore de ce Folium. Eh bien, voyons, si vous laissez un fou s'asseoir et vous parler, il lui arrive de vous donner des idées brillantes, n'est-ce pas ? Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais je passe beaucoup de temps avec les fous.
- Alors ce Folium regroupe les révélations des déments ? Oui ! Il y a quelques vraies révélations, là-dedans. Si vous lisez mon Folium, oh... comme je vous ai dit, ça vaut au moins la puissance d'une demi-douzaine d'éclats célestes.
- Si Valastë reste ici, vous la guérirez ? Vous avez tout compris. Pas d'astuce, pas de « persistance de l'infection magique », pas de cauchemar pour la poursuivre dans ses rêves. Oooh, c'est toujours marrant, ça... mais non, non. J'annulerai ce que mes livres lui ont fait. Point barre. Si vous refusez le Folium.
- Pourquoi feriez-vous cela ? Je vais être honnête, mortel, ça fait des années que je ne me suis pas autant amusé. Vos petits efforts pour obtenir les livres, taper Shalidor avec le bâton... Oh, oh ! Vous vous rappelez la fois où je vous ai fait fermer tous les portails sur Eyévéa ? Comme c'était drôle !
Je suis prêt à prendre ma décision. Youpi ! Un mortel qui prend une décision ! Libre arbitre, responsabilité ! Alors, Valastë doit-elle rester, retrouver la raison et mener sa vie ici ? Ou doit-elle m'accompagner, pour vous permettre d'accéder au pouvoir du Folium Discognitum ? À votre avis ?
- [Valastë reste] Je veux que vous guérissiez Valastë. Ha ! Je savais que vous ne prendriez pas le livre. Je l'ai lu dans votre regard. Oh, bon, on ne peut pas reprocher à tonton Shéo d'avoir voulu accueillir sa nièce préférée confortablement. Comme vous voudrez, mortel. Je vais défaire ce qui lui a été fait.
- [Valastë part] Je veux le Folium Discognitum. Ha ! Je savais que vous prendriez le livre. Je l'ai lu dans votre regard. Ne vous inquiétez pas, tonton Shéo va bien s'occuper de sa nièce préférée. Ce fut un plaisir de faire affaire avec vous, mortel.
Si le Vestige décide que Valastë s'en aille.
Ah, il est bon de rencontrer un individu doté d'un certain sens des priorités.
Bien sûr. Le livre ? Et voilà, mortel ! Ne vous avisez pas de prétendre que Shéogorath n'honore pas les termes de ses contrats. Cela lui arrive parfois. Mais pas aujourd'hui ! C'était... divertissant. Remettons cela bientôt, voulez-vous ?
- Shéogorath: Le mortel a décidé que Valastë m'accompagnerait ! Valastë, très chère, vous partez avec l'oncle Shéo.
- Valastë: Oh oui ! Les papillons, j'aime les voir voleter !
- Archimage Shalidor: Il... Il a encore gagné. Ne l'emportez pas, Dieu fou, je vous en prie !
- Shéogorath: Point d'inquiétude, elle est entre de bonnes mains ! Je vous fais donc mes adieux. Ce fut un plaisir de travailler avec vous, mortel ! Shalidor... reste fidèle à toi-même. Dis-leur adieu, ma chérie.
- Valastë: Adieu ! Vous allez me manquer !
- Shéogorath: À la prochaine, magiciens !
(Shéogorath, Haskill et Valastë s'éclipsèrent.)
Si le Vestige décide que Valastë reste.
Le mortel a décidé que Valastë resterait ! Alors, je vous fais mes adieux. Ce fut un plaisir de travailler avec vous, mortel ! Shalidor... reste fidèle à toi-même.
Valastë... vous m'en voyez navré, très chère. Dites adieu aux petits songes-creux !
Le prince de la folie ne s'attarde pas dans les lieux où il n'est pas le bienvenu... sauf quand il le souhaite. Mais dans le cas présent, il n'en a que faire. À la prochaine, magiciens !